dimanche 13 avril 2014

Une idée de restau sympa (Nice, cours Saleya)





Les portions sont généreuses, la viande goûteuse, que demande le peuple?
Panem et cirsens? Vous trouverez le pain à loisir, pour les jeux, passez votre chemin ;)


mercredi 11 janvier 2012

M Barabbas (variante de M Hacket 2)

Plus enflée, gonflée d'un style méticuleusement sophistiqué, jusqu'à la caricature, avec un clin d'oeil à la religion en contre point, cette version se lit d'une traite et sans dictionnaire, juste avec la musique des mots.


Vagissements de chérubins. Tintinnabulum frangé par l’autan noir de 12h. Il floconne des larmes de cinabre verglacées sur la pelouse immaculée. Tout pantelant, sa griserie agreste toute infantile comme surinée par la chute, l’enfant se redresse, hagard, les bras en croix répandu, tel un Adonis éployé en lambeaux, un rien vacillant. Déjà loin, les trépidations mécaniques d’une brume d’angelots cendrés éclipsée par le vent. Dressé, là devant, tel un aulne savant, figure hiératique marmoréenne enracinée dans ce jardin odoriférant, une relique des temps anciens, le pater noster, tel un vieux parchemin à l’encre douloureuse effacée par le sel, est juché sur son assise. Il psalmodie en marmottant entre ses dents une politesse d’usage, ave Maria, et s’en retourne à son caveau de famille tout en bois de sapin. L’enfant roi prend sa place sur le trône. Affleure alors à la lisière de cette scène bucolique une jeune mariée virginale dans sa toilette diaphane. La mantelure opaline de son voile de pudeur jette sur ses fesses laiteuses un éclat lunaire éburnéen. Enroulant de ses doigts glissants le membre raidi d’un éphèbe au bras chancelant. Lui laisse tomber une pomme dans la fange humide et douce d’un coteau vallonné. A cette apparition, l’angelus se souvient qu’il est l’heure de la cène, et s’en va, bien heureux, à l’évocation de ce festin messianique. Et nos deux mignards peccamineux s’en vont gîter dans leur thébaïde de fortune, entre les deux branches ardentes d’un buisson foisonnant. Quand surgit sans crier gare, du sombre repli d’une venelle végétale,  un reitre pouacre et nidoreux, le visage rubicond boursouflé par le vice et l’envie. Au comble de l’anadipsie, le pauvre hère se fait tour à tour rhéteur, laudateur, avant de se répandre en indiscrètes confessions. Ainsi, ployé par l’inclémence d’une existence au service de ses pairs, eût-il été compagne plus tendre pour notre pauvre commis que ce carafon de spiritueux aride, qu’il transbahutât fébrilement de ses mains noueuses, la question jamais ne devait trouver chemin vers son esprit grisé . Hermétiques à toute forme de pathos thuriféraire, les amants maudits, suivant le vol des grives, s’en vont se cacher dans leur nid douillet. 

  Demeuré seul,  le disert malandrin contemple en se bâfrant, l’œil à demi éteint, la recette de son larcin. Quelques piécettes dorées ou vermeilles, poussière luisante empruntée à la piétaille ingénue. Figues et chardons brandillés par la brise, le vent d’autan siffle son noir cantique, canticum canticorum, canticum canticorum, canticum…les lèvres luisantes de miel et de lait, l’œil embué par l’ivresse de l’instant, l’esprit bat la campagne à travers les champs d’ivraie bourgeonnés, enjambe dans un lyrique bondissement les ruisseaux de vin antalgique, survole les montagnes en peau de seins et de satin, se déploie là haut dans les voiles alabastrines, toujours plus grêles, lys et neige de soie noire découpés par le vent..Un craquement, et voilà que, ramenant vers lui son reliquaire en peau de croco et croix fleuronnée, le jeune séraphin s’enfuit au travers des entrelacs d’aubépine. Ainsi revient le père de sa flânerie liturgique, n’ayant trouvé nul  autre que l’écho de ses psaumes sifflotés, dans le sépulcre déserté. Il prend place  un moment pour déguster son pain béni, et contempler la scène, de haut. Un ange chute. Larmes de sang. Là bas, on sonne les matines. Râles de plaisir.    

lundi 26 décembre 2011

CLOC


    Soudain. Cloc. Le silence envahit la pièce. Cloc. Presque machinalement. Cloc. Il ouvre les yeux. Cloc. Déjà debout. Cloc. Au milieu de la pièce. Cloc. Son lit défait. Cloc. Ombre parmi les ombres. Cloc. La lune. Cloc. Absente pour le moment. Cloc. Sa femme. Cloc. Elle ne reviendra pas. Cloc. Noyée dans la nuit noire et profonde. Cloc. Elle émet un craquement sous son poids. Cloc. Cette rambarde sur laquelle pèsent des siècles. Cloc. Son reflet s’efface dans le miroir. Cloc. Noir comme la nuit. Cloc. Son œil grand ouvert regarde mais ne voit pas. Cloc. Les yeux dans les yeux. Cloc. Elle contemple longuement cette statue. Cloc. Figure inhumaine glacée par l’ennui. Cloc. La dépouille du défunt mari trône tel un trophée. Cloc. Au loin, dans la chambre des invités. Cloc. Gît par terre une horloge en bois verni qui s’est arrêtée. Cloc. La pointe de l’aiguille sur le 12. Cloc. Une seringue empêche ses aiguilles de tourner. Cloc. Un filet noirâtre discrètement macule ses flancs. Cloc. L’esprit prompt mais les muscles endoloris. Cloc. Le mari gît sagement dans son ultime tombeau. Cloc. Les pensées vers cette pièce de bois maculée de curare. Cloc. Là haut, on aère la pièce et jette avec un empressement sincère de bien douloureux souvenirs. 

jeudi 22 décembre 2011

M Beaumont (variante de M Hacket 1)

C'est la première pièce d'un grand puzzle, devant mener à un plus grand puzzle. Cette version, ce morceau, fragment, cette pièce se veut  porter le récit en France, où l'on sait que les fonctionnaires y fleurissent souvent en couples, tels de bien heureux bouleaux, et dans une région où la pluie, mélancolique, semble plus à propos que la neige.

M Beaumont 
  
Cris d’enfants. Carillon de 12h. Une pluie fine saupoudre le jardin des senteurs. Encore engourdi par sa chute, l’enfant se relève un peu chancelant. Au loin l’écho de rires d’écoliers happé par le vent. Devant un vieil homme affalé sur son banc. Il étouffe un sanglot  et s’enfuit prestement. L’enfant prend sa place sur le banc. Arrive une jeune mariée visage jaune sur ce paysage jeune. A son bras un jeune homme au visage plus jaune encore. A sa vue l’enfant ouvre les yeux tout grand et s’en va en courant. Et le couple se pelotonne sur le banc glacé en murmurant. C’est alors qu’apparaît un agent de police d’un buisson ardent. Assoiffé, serrant sur son cœur une bouteille d’eau de vie de Charente, le fonctionnaire ventru et moustachu apostrophe les amants.  Comme un seul homme, ils se lèvent et disparaissent en un instant. Le fonctionnaire va titubant rejoindre son banc. Dans son veston une photo défraichie de sa femme. Ses pensées la rejoignent l’éternité d’un instant. Quand arrive un vieux monsieur, clopinant et glissant. Il jette un regard triste vers le policier, qui cède sa place en grommelant. Alors, enfin affalé sur son banc, le regard tout humide de cet horizon qui pleure, le vieil homme lève les yeux au ciel, qui le regarde, qui l’attend. C’est alors qu’un groupe d’enfants, en bousculant un autre, s’éloignent en courant. Ne reste qu’un seul morveux, tout tremblotant, resté planté, là, un peu gauchement. Le cœur serré, les mains glacées, le vieil homme quitte les lieux promptement, sans se retourner. Cris d’enfants. Carillon de 12h. Une pluie fine saupoudre le jardin des senteurs.

   

vendredi 9 décembre 2011

M Hacket

  Cris d’enfants. Carillon de 12h. Il neige sur Saint James Park. Encore engourdi par sa chute, l’enfant se relève un peu chancelant. Au loin l’écho de rires d’écoliers happé par le vent. Devant un vieil homme affalé sur son banc. Il étouffe un sanglot  et s’enfuit prestement. L’enfant prend sa place sur le banc. Arrive une jeune mariée tout en blanc sur ce paysage blanc. A son bras un jeune homme au visage plus blanc encore. A sa vue l’enfant ouvre les yeux tout grand et s’en va en courant. Et le couple se pelotonne sur le banc glacé en murmurant. C’est alors qu’apparaît un agent de police d’un buisson ardent. Assoiffé, serrant sur son cœur une bouteille d’eau de vie d’Ecosse, le fonctionnaire ventru et moustachu apostrophe les amants.  Comme un seul homme, ils se lèvent disparaissent en un instant. Le fonctionnaire va titubant rejoindre son banc. Il cuve sa solitude depuis l’on ne sait combien de temps. Quand arrive un vieux monsieur, clopinant et glissant. Il jette un regard triste vers le policier, qui cède sa place en grommelant. Alors, enfin affalé sur son banc, le visage poudré de flocons de neige grisonnants, le vieil homme lève les yeux au ciel, qui le regarde, qui l’attend. C’est alors qu’un groupe d’enfants, en bousculant un autre, s’éloignent en courant. Ne reste qu’un seul morveux, tout tremblotant, resté planté, là, un peu gauchement. Le cœur serré, les mains glacées, le vieil homme quitte les lieux promptement, sans se retourner. Cris d’enfants. Carillon de 12h. Il neige sur Saint James Park.

mardi 19 avril 2011

Monologue et défi aux conventions

      
      On a trop tendance à confondre contenant et contenu, l’idée et son enveloppe, son présentoir. Prenons l’écriture par exemple : elle traduit avant tout une certaine forme de liberté, l’auteur exprimant ce qu’il est ou ce qu’il a (ce qui revient au même, nos objets sont nos miroirs) de la manière dont il l’entend…pas si simple me direz vous, quand la syntaxe propre à une langue offre des limitations et encadrements dans le raisonnement, dans le fil de la pensée et finalement aussi dans celui de l’écriture (on retrouve ici les travaux philologiques de Saussure et sa fameuse « mécanique du langage »).
Mais je ne veux pas aller aussi loin. Votre serviteur, mû par une idée romantique de l’écriture, demeurait persuadé que toutes les plateformes sur internet dédiées à l’écriture refléteraient cette liberté de penser dans leur fonctionnement, puisque devant réunir en un même faisceau d’écritures multicolores une même et vibrante passion….chimères ! La première (et dernière) plateforme dans laquelle j’ai échoué, telle l’île du Docteur Moreau avait des abords plutôt charmants…En effet, il semblait y régner en permanence un climat subtropical, les esprits s’échauffant dans la rédaction de nombreux textes, qu’un rivage de commentaires, critiques et annotations diverses devaient tempérer..Tout une communauté joyeuse, un club de vacances, sous l’œil attentif de quelques « gentils organisateurs » (GO) tels que présentés…

    Hélas, bien vite, je déchantais ! Appâtés par la facilité d’une gloire éphémère, affamées de reconnaissance carnassière, certaines formes étranges d’auteurs qu’une série d’encouragements avaient fait muter en monstres d’orgueil et de vanité boursoufflée, ne reculaient devant rien pour s’attirer un peu les clameurs d’une foule de plus en plus lointaine, indifférente. Copiant ainsi des pans entier de texte d’auteurs ou pis, de journalistes connus (j’ai ainsi reconnu mot pour mot une émission sur radio France : « les pourquoi » avec Philipe Vandel), ils guettaient la moindre occasion de rentrer dans la lumière, de se vautrer impudiquement dans la fange d’une indigne gloire usurpée, dans la clameur des badauds en vérité un peu circonspects, déjà las de tant d’étalage de talents à critiquer (et en vérité de plus en plus difficiles à satisfaire, d’où peut être cette surenchère de certains)…Bref, pour canaliser ces minotaures aveugles, mi auteurs, mi copieurs, que pouvaient trouver de mieux les administrateurs de ce bestiaire qu’un labyrinthe, tortueux et sinueux !Et c’est ce qu’ils ont fait, classant, sous classant, compartimentant chaque action, thème, initiative (de la présentation de base en passant par la signature très protocolaire de la « charte d’adhésion » jusqu’à l’ultime révérence courroucée mais motivée, svp), rendant impraticable ce qui devait aller de soi, s’écouler librement comme l’écriture…Je me souviens ainsi d’un thème amusant, dont je m’étais surpris à constater qu’il n’avait pas trouvé beaucoup d’écho, dans une rubrique « battle » (odieux anglicisme dans un site de littérature/écriture française), joute dirons nous : il s’agissait de dépeindre poétiquement les corvées du quotidiens, et d’affronter ce faisant d’autres plumes acérées. Le problème se situait dans l’accès au tournoi : il fallait envoyer une requête motivée à l’administrateur, suivi d’un exemplaire de son texte, après quoi il était décidé, moyennant une éventuelle censure, de déclarer ou non la participation à la joute (mais dans quelle extrémité confinée du blog, je ne suis jamais parvenu à le découvrir)…Ajoutons à cela la condescendance de geôliers forts contents de leur petite personne, et l’enceinte de cette île aux écrits empoisonnés se révéla vite étouffante, la plume ne pouvant composer avec les lenteurs d’une administration de circonstance…

  Bref, rescapé bien malgré moi, sauvé des eaux empoisonnées charriées par un torrent d’hypocrisie et de craintes (des usagers du site par rapport à leurs geôliers, brandissant la menace constante d’une répudiation), je me suis retrouvé au dehors, un peu hébété, les yeux encore aveuglés par la lumière vive de la Raison présidant loin de ce enfer surpeuplé, la bouche pâteuse à cause des antibiotiques (anecdotique).

  Que me restait-il donc de mieux à faire que de relever ce défi, cet exercice de style, malgré tout, ici même ? C’est avec enthousiasme que je vais m’y employer. Si quelque lecteur de ce billet souhaite à ce titre me faire mordre la poussière virtuelle sur mon propre fief, je l’attends, pied à l’étrier.

Boutant la saleté odieuse hors de chambre
A l’aide d’une ou deux pelletée sur la crasse duveteuse
Les nuages de poussière, les rivières d’eau croupie, paysage d’automne et d’ambre
Au savon laiteux et malade, viennent se fondre dans l’écume soyeuse
Incipit laborieux, la ménagère se cambre
Sur son front cramoisi,  là où insidieuses, elle voit les rides qui se creusent

   

jeudi 14 avril 2011

Quelques grammes de sexisme poivré dans ce monde d’égalité parfaite

  L’autre jour, une femme anonyme  me faisait remarquer sur la boîte mail de mon compte yahoo Q/R(oui, il est plus facile de m’envoyer un mail sur mon compte Q/R que de déposer un commentaire sur mes billets de blog, tout cela est très logique) que mon caractère, outre un certain nombre de défauts dont elle me dressait la liste généreuse (liste que le manque de place sur ce blog ne me permettra hélas pas de retranscrire ici dans sa plus exhaustive forme), comprenait une manifestation avancée de sexisme. Sur quoi je lui demandais bien sûr de m’expliquer en quoi j’aurais pu faire preuve, à quelque titre que ce soit, de cette maladie de l’homme communément attribuée à lui par les femmes, incidemment.  Elle me rétorqua alors, sur le ton adoucis de la réprimande compréhensive (après tout, que n’étais-je d’autre qu’un homme) que je l’aurais rencontrée, il y a de cela fort longtemps, sur cette plateforme d’échange intellectuel et de partage mutuel qu’est yahoo Q/R, et que j’aurais tenu des propos déplacés à l’égard de la gente féminine. Je lui fis remarquer bien sûr que le système même de yahoo Q/R (mais pléthore d’autres aussi, construits sur le même principe) encourageait, facilitait la composition d’un masque, d’un jeu scénique, sous couvert d’un juste anonymat, et que mon caractère « dans la vie réel », s’il comportait des défauts, ne les réunissait peut être pas tous comme dans ce personnage, ou tout du moins pas dans une proportion aussi flagrante,  ce qui m’amène à traiter deux points.

  J’adore les femmes, sur un air de Julien Clair, ou de « il était une fois » de Richard Dewitte (avec la sculpturale Joëlle Mogensen ). Oui, il était une femme, la femme à elle seule est un conte pour grands enfants, une valse à deux temps qui s’écrit au présent, au passé, au futur... un regard  enveloppant croisé, capté, précieusement recueilli  dans la prime jeunesse et qui vous fait encore frémir lorsque vous comparaissez devant la porte cochère de la vieillesse. Il y a de la magie dans ce regard, les milles et une nuits, les mille et une vies de femmes qui se ressemblent et s’opposent tout à la fois, les mille et une facette du même mystère. Mystère pour l’homme, pauvre ère, toujours perdu, deux tours de retard, pauvre fou sur l’échiquier, bien loin en tout cas du personnage épique désiré toute leur vie par ces éternelles petites filles, qu’une savante propagande littéraire enfantine aura conduit à rêver du parfait mélange de l’humain, la beauté, la richesse, l’intelligence et le charme en prime, une créature mythologique que l’on ne saurait rencontrer que dans les musées.  Les relations de la femme avec l’homme sont un savant jeu diplomatique de choses murmurées du regard et de choses entendues, ce que Pierre Bourdieu appellerait d’une manière fort disgracieuse « la notion de face ou de rôle », un masque que chaque individu revêt pour évoluer en société, et se conformer aux différents codes des différents milieux où il évolue..

Ce qui m’amène  insidieusement à mon deuxième point : la notion de masque sur certains forums.  Incontournable, nous l’avons vu, en société, le rôle du masque dans les forums peut revêtir aux yeux de certains, certaines un caractère intolérable, non pas car il existe, mais bien car il est manifeste, exagéré, amplifié jusqu’à la bouffonnerie la plus grotesque et divertissante. Bien sûr, le système encourage cela,  la présentation anonyme (ou avec des pseudos fantaisistes), l’adjonction d’informations complémentaires invérifiables (photos, date de naissance, genre, profession) ou leur absence permet réellement de se reconstituer une identité, de faire fi d’un apparaître, d’une apparence corporelle et de gestuelles, habillements ou mimiques avec lequel l’on avait coutume de composer en société, pour lui substituer une existence virtuelle basée sur les seuls mots, le discours donnant à lui seul vie au personnage, étrange défi, admirable enjeux. Le revers de la médaille est la perte de repères pour les autres usagers du forum, petits nouveaux ou vieux monuments suffisamment ancrés dans une situation de complète transparence par rapport à leur « vraie vie » pour qu’il leur semble illégitime de ne pas pouvoir s’appuyer sur les quelques données « civiles » délivrées (ou non) par les autres usagers.

Tout ceci pour conclure que si même les diamants ont plusieurs facettes, les simples cailloux peuvent receler aussi quelques mystères, pour peu qu’on les oriente dans la bonne direction.